Projet pour le titre de l’ouvrage éponyme de Roula Ayoubi (voir billets de septembre)

Je viens de recevoir des nouvelles en images de mes chimères produites au mois de juin dernier à Hautecour en Savoie…

Aujourd’hui, l’atelier de confection d’emballages pharmaceutiques a tourné à plein régime. Merci à Valérie, Servane, Jean-Louis et Laure  pour leur contribution… Vous pouvez commander votre traitement sans prescription médicale en laissant un commentaire sur le blog…

J’ai recruté du personnel pour m’aider à confectionner une oeuvre multiple a consonance pharmaceutique. Merci maman de t’être prêtée à l’un de mes délires qui te font t’interroger à nouveau sur ma santé mentale…

Illustration pour un article dans un journal du Tarn…

Nouvelle série de 10 portraits intitulée en surdose. lino 20×7

Toujours pour l’ami Dom et son futur restaurant de Nantes « Pickles »

Gravures pour l’ami dom qui va bientôt ouvrir un resto à Nantes à l’enseigne de Pickles. Voir le lien vers son blog http://www.chefsdiary.com/

Principe de construction du projet « Un minuscule drame des flots »: les panneaux gravés sont posés sur un radeau flottants constitué d’un train de palettes posé sur des chambres à air de camion, le tout arrimé avec des câbles à des lests de béton.

Pour l’appel à projets Etangs d’art, mon idée est de proposer deux panneaux gravés découpés et flottants recto/verso avec des figures de prédateurs et de proies dont les rôles s’inversent suivant la face qu’on regarde.

Je suis en train de préparer un dossier pour répondre à un appel à projets qui s’appelle Etangs d’art dans une région occidentale. Il faut proposer des installations sur l’eau, du coup j’ai eu l’idée d’utiliser le lieu comme un décor réel pour une scène dessinée. Une forme de bande dessinée en décor naturel… Dossier à envoyer pour le 15 novembre. Là c’est juste un premier essai de photomontage.

Aujourd’hui, démontage de la boîte à musique qui était installée depuis une semaine dans le square Chanoine Viollet dans le 14ème et retour des danseurs dans leur retraite des murs à pêche de Montreuil

« L’air de la valse » sculpture mobile conçue pour les rencontres du land art et de la ville, a souffert de ses premiers tours de piste. Le décor qui dissimule le mécanisme musical, n’était pas assez solidement fixé et avait tendance à se faire la malle… La chose est réparée. La nuit dernière Paris a essuyé une mini tempête et l’installation a vaillamment resisté. La structure est désormais tout à fait résistante.

Jusqu’au 4 novembre, « L’air de la valse » et 7 autres oeuvres sont visibles dans les squares du 14ème à Paris. Des propositions très diverses qui vont du land art le plus orthodoxe à des actions particicpatives. Tout ça est gratuit, sincère et généreux… L’anti FIAC en quelque sorte! cette vaste foire à l’art orchestrée par les galeries et les salles des ventes dont l’entrée coûte 35€ et qui se déroule au même moment à quelques kilomètres de là!…

Baptiste est venu m’aider à monter ma boîte à musique dans le square Viollet à Paris (grand merci à lui). Tout ça c’est pour une expo d’art in situ organisé par l’association les deux Dés dans le cadre des rencontres du land art et de la ville. (Photos Gwanaelle Medici)

Réglage des cloches et accordage de la mélodie

L’air de la valse est en place Le couple de danseurs peut de mettre en mouvement. A droite Rémi Delaplace, organisateur de la manifestation Les rencontres du land art et de la ville..

La gravure des danseurs pour l’expo Les rencontres du land art et de la ville, est presque fini de même que le mécanisme de la boite à musique qui va  permettre de les mettre en mouvement. Installation le samedi 26/11 dans le square Viollet dans le 14ème à Paris

Aujourd’hui, premier essai de mise en rotation de mon couple de danseurs « l’air de la valse » destiné à être exposé dans le cadre de la manifestation « rencontres du land art et de la ville » dans 8 squares du 14ème arrondissement à partir de la fin de la semaine prochaine (voir le billet du 26/09). L’ami Théo est venu m’aider à transporter le panneau gravé qui pèse autour de 70 kilos et à le poser sur le plateau tournant. Résultat tout à fait satisfaisant. Ca tient, ça tourne! Il manque encore quelques finitions et ça fera aussi de la musique…

Maquette du manège en version nuit avec guirlande…

Les quatre figures du projet manège misère voir la vidéo dans le billet du 25/10

Je suis en train de graver à Montreuil dans les murs à pêches, un couple de danseurs pour la manifestation land art dans la ville (voir billet du 26/09). Il seront recto verso et tourneront sur une boîte à musique. ce n’est que le début…

Carole Ghilini, une amie, s’est lancée récemment dans la production d’une galerie de portraits aux pastels secs sur tous les papiers qui lui tombent sous la main. Là c’est la page économie d’un quotidien grec (tout un programme!). Moi j’aime beaucoup ses visages. Le traitement est faussement naïf. Il y a un mélange de cruauté et de tendresse dans le trait et en tout cas une grande acuité du regard. Hold on Carole!

Les rencontres du land art et de la ville vont bientôt avoir lieu dans le 14ème à Paris. Gravomane y prend part, square du Chanoine Viollet…

Projet pour la ville de Riorges près de Roanne. Un manège en matériaux de récupération et toujours un système de cloches musicales dans le plateau. Là c’est juste la maquette incrustée dans une photo du lieu où aura lieu la manifestation à laquelle je propose cet objet de 4,5m de diamètre et 4 de haut avec personnages gravés à la tronçonneuse…

Once upon a time, in the middle of Japan, lived Haruka, a little girl with long hair. Her grandmother drew her black smooth hair back to make two lovely ponytails that flew behind her when she rode her bicycle.

Texte Roula Ayoubi

Suddenly something magic happens. The hawks start moving and dozens of them leave the tree and go roaming the sky. Haruka watched them and still couldn’t believe they were so many. Haruka knew that hawks don’t gather in numbers like this. She also knew that they don’t harm people in Kusatsu, but still she was scared to see so many hawks above her head.

Texte Roula Ayoubi

One Friday afternoon, Haruka feels tired. She rides her bike by a big tree on the way to the lake. She imagines seeing plenty of hawks perched on the tree. Ten or maybe fifteen! Haruka can’t believe her eyes. She stops by the tree to see if there were really hawks in there.

Texte Roula Ayoubi

It is still chilly in the middle of April although spring has started. Haruka enjoys sitting in the sun outside the house playing with kitty her little woollen doll or watching the hawks roving the sky looking for frogs in the adjacent river or in the little canals running through the village. The hawks don’t make noises but the crows do. Quaq quaq quaq…

Texte Roula Ayoubi

Every Friday afternoon, Haruka takes her bike and goes to meet her friend Momoko by the lake to play. In the middle of Kusatsu is the biggest lake in Japan called Biwako or Biwa lake. People fish in the lake or in the rivers side by side with the hawks who look for their frogs.

Texte Roula Ayoubi

Haruka is used to take her bike every day and make the tour of the little roads in Minami Kusatsu where she and her grandparents lived in a little house. Around the house they planted rice. In the spring the grandfather tills the field with a small tractor and a few days later the three of them throw the little grains in the field.

Texte Roula Ayoubi

She got back on her bike and rode away from the tree. Every now and then she looked up to see if the hawks were still following her. And they were. The hawks continued their circling flight above her head until she reached the lake. But they were now much higher in the sky.

Texte Roula Ayoubi