Hier et aujourd’hui, avec les amis de l’atelier des Lilas, performance d’impression de gravures de grand format au rouleau compresseur dans une rue des Lilas, près de Paris. Selon un procédé déjà bien rodé, on commence par la confection d’un lit de sable suivi de la pose d’un cadre, puis de l’encrage des plaques gravées et pour finir impression sur tissu ou papier. Le public est là, ça participe, ça applaudit le résultat, c’est joyeux et magique, une vraie fête… Qui continue demain…
Pour Carquefou
publié le 13 mai 2014Même pas morte!
publié le 11 mai 2014Pour Lez’arts #7
publié le 08 mai 2014Pour Lez’arts #6
publié le 03 mai 2014Pour Lez’arts #5
publié le 01 mai 2014Pour Carquefou
publié le 26 avril 2014
Aujourd’hui avec l’ami Bernard Gerest, constructeur bois et architecte, nous avons commencé à construire les arches de bois qui serviront de structure aux ovoïdes du projet Favela spoutnik que je vais installer à Carquefou près de Nantes au mois de juin dans le cadre du parcours art et nature. On a fabriqué 12 voutes sur les 18 au total que j’assemblerai sur place. Les plus petites font 1m de haut les moyennes 2 et les grandes 3. Pour plus d’infos, voir les billets de février dans les archives.
The hawks la couverture
publié le 23 avril 2014Pour Lez’arts #4
publié le 21 avril 2014Pour Lez’arts #3
publié le 20 avril 2014Pour lez’arts #2
publié le 19 avril 2014Pour Lez’arts #1
publié le 14 avril 2014The Hawks l’impression
publié le 12 avril 2014
Nous avons imprimé hier en sérigraphie, les 300 exemplaires de la couverture du livre de Roula Ayoubi « The hawks », dont les illustrations sont visibles dans les posts de septembre. L’atelier où nous l’avons fait, c’est celui de Papier gâchette, une association de Strasbourg où Marion (ma fille) et moi même avons pu réaliser ces tirages sous l’oeil avisé de Manu l’hôtesse des lieux…
Les amants du brouillard
publié le 09 avril 2014La gravure que vous ne verrez jamais… Je l’ai installée dans les Corbières sur le sentier sculpturel de Mayronnes il y a une semaine. Elle a tourné quelques heures puis a été emportée par la tempête… Fin de l’histoire et gros chagrin!
The hawks
publié le 03 avril 2014Mayronnes #2
publié le 01 avril 2014Mayronnes #1
publié le 31 mars 2014Work in progress #2
publié le 30 mars 2014Work in progress in Murat
publié le 29 mars 2014Nouvel axe
publié le 28 mars 2014Brice Bascoul, le fils d’un ami muratais, (Murat dans le Tarn pas dans le Cantal!) découpe au chalumeau l’essieu d’un vieux camion qui va servir d’axe au plateau tournant de ma boîte à musique géante. la version précédente de mon mécanisme, constitué d’une vieille roue de moto s’était révélé trop fragile et s’était cassé assez vite, là ça devrait être du sérieux! Il doit pouvoir supporter un poids de 100 à 150Kg et tourner en charge. Dans quelques jours, je vais l’installer sur le sentier sculpturel de Mayronnes dans l’Aude… Merci Brice!
L’homme penché
publié le 25 mars 2014Planche
publié le 18 mars 2014Renversé
publié le 02 mars 2014Cover for the Hawks
publié le 27 février 2014The hawks
publié le 17 février 2014Haruka
publié le 16 février 2014Favela spoutnik
publié le 15 février 2014Le gecko de Bastien
publié le 11 février 2014Pour Carquefou
publié le 09 février 2014Simulation vidéo de l’éclairage dynamique pour le projet Structures à Carquefou près de Nantes
Spoutnik by night
publié le 06 février 2014Pour Carquefou
publié le 04 février 2014L’installation de mes nids huttes spoutniks dans la clairière de Carquefou, pourrait donner à peu près cela. Il s’agit de répondre à un appel à projet lancé par la ville sur le thème « structure ». Il y en aurait donc trois (des structures) faites de planches de récupération, sortes d’abris éphémères et bancals, en train de pousser hors de terre ou échoués là en provenance d’une lointaine planète.
Spoutnik
publié le 31 janvier 2014C 1 rébus
publié le 28 janvier 2014Fitness melody
publié le 26 janvier 2014Les voeux de Bastien
publié le 24 janvier 2014Bambou Kanak
publié le 20 janvier 2014Découverte à l’expo « Kanak l’art est une parole » au musée du quai Branly: des bambous gravés sur toute la surface. Etonnants de finesse, d’inventivité et d’humour. Tout un récit se déploie. Là c’est une scène coloniale (sic) du XIXème siècle. A gauche, le bambou en entier (+/-1m de haut), à droite, un détail de la gravure mise à plat.
Ensurdose #9
publié le 15 janvier 2014
Cher Monsieur Fleur de Cactus,
Je présume, au reçu de votre paquet, que votre nom, si piquant et si florissant, aigre-doux peut-être, respire malgré tout celui d’un homme compréhensif qui veut le bien de ses prochains, en ne négligeant cependant nullement le bien des siens par le revenu certain qu’apporterait quelque pilule miracle venue du divin de ses recherches.
Or, il s’avère, Monsieur Fleur de Cactus, que revenant vivant à l’instant de Rome, la ville éternelle qui -soit dit en passant- n’usurpe pas son titre de par sa propension circulatoire à renverser les dits passants, je trouvais, porté par la grâce féline quoiqu’un peu frelatée d’une gardienne d’immeuble stipendiée et pour cela faussement affairée, je trouvais donc une boite d’Ensurdose qu’il ne me souvenais pas d’avoir commandée, encore que ma distraction sur Internet continue à mon grand dam de me faire la risée des miens. Internet réserve parfois des surprises auxquelles mon esprit anémié, enrobé des stigmates du siècle passé, ne me permet pas toujours d’adhérer.
Or donc, dévitaminé par l’esprit ecclésiastique et antique suintant des rues de la ville d’Eternité, il me manquait justement la surdose envitaminée qui se présentait dans votre boite anonyme, vendue de surcroît hors des sentiers de la grande pharmacopée, dont l’esprit capitalistique comme chacun le sait, n’a de cesse que de nuire à la santé et engrange des profits immérités au mépris de l’humanité.
Las ! Principe de précaution bien ancré dans mon esprit formé par l’éducation d’un Etat bienveillant, penché sur ses sujets, les berçant dans son sein très mollo à l’aide de soporifiques achetés à bas prix chez Marx and Sponsors, j’eus l’intelligence que beaucoup de nos concitoyens n’ont pas -et je le regrette pour eux, croyez le bien- de lire la notice estampillée de la vision d’horreur d’un personnage accablé du poids funeste d’une pensée exacerbée et ce avant même de me faire à l’idée d’ingurgiter la moindre pilule.
Etait-ce moi en effet ce pantin glapissant issu d’une année calamiteuse dite Vingt-Treize ? Etait-ce bien vos conseils qui s’inscrivaient au recto du verso démoniaque ? Naissait la tentation de passer outre avec un esprit Faust face à Méphistophélès et d’avaler quoiqu’il en advienne la formule magique. Les pilules immaculées se noircissaient de traits hallucinés de têtes déjantées. Y avait-il une femme dans ces têtes là ? A coup sûr, c’est elle que j’aurais choisie, plus sûr, moins violent, encore, faut voir… Peut-être en était-ce une à gauche en bas ? Trop hallucinée, peut-être un travesti ? Celle d’à coté, non la première, tant pis, on verra .Se résoudre à détacher la pastille, la faire se dissoudre, mais… Merde, stop ! Point numéro 4! Passons au numéro 5. Je n’aurai pas le culot de les apporter à mon pharmacien. Mais quand même, j’aurais aimé voir la tête qu’il aurait fait cet idiot en voyant le faciès caché de ce qu’il nous fourgue régulièrement.
Bref, je ne sais que faire de cette boîte : l’envoyer en Afrique ? La donner à M.S.F ? Mais eux, réputés intelligents verrons tout de suite que l’objet insécable doit passer par une voie oculaire et que même si ce n’est que 5 mg, c’est quand même difficilement ingérable ! Bon, en attente d’inspiration j’attends l’an prochain et je stocke l’engin dans cette boite à chaussures où figurent les petits bouts de ficelles ne servant à rien et les colifichets issus des cérémonies pieuses. Je vous remercie cependant de votre envoi qui, veuillez le croire m’est dans la tête fort utile.
Ah, au fait, Monsieur Fleur de Cactus, n’omettez pas de communiquer à votre commis, Monsieur Roland Cros, tout l’intérêt que je porte à ses recherches et à sa famille aussi en ce début d’année nouvelle qui ne voit pas de différence avec l’ancienne.
Votre dévoué
PIOTR
P.S. Mon épouse, qui par ailleurs se joint à moi dans l’expression de nos vœux les meilleurs, me fait remarquer qu’il existe sur Internet un produit qui semble similaire au vôtre, avec toutefois l’avantage de s’administrer par voie auri-cul-air (c’est comme ça que c’est écrit). Est-ce un générique, une contrefaçon ou une invention ?
Nest factory #2
publié le 12 janvier 2014Le projet est de construire des nids en bois de récupération et de les accrocher à la charpente de la halle des abattoirs d’Anderlecht à Bruxelles les jours de marché (vendredi samedi et dimanches). Les autres jours, on les descend au bout d’un câble, ils sont posés sur le sol de la halle et servent d’espace de jeu pour les enfants. On peut se réfugier dedans, les escalader, s’y cacher, s’y becotter… Des vrais nids quoi!