A Caruaru, aux portes du Sertao, se trouve un petit musée du cordel. Il est situé en plein milieu d’un marché aux allures de souk oriental. Il faut se faufiler entre les échoppes, demander 20 fois son chemin avant de le trouver, mais il est là comme une parenthèse poétique dans la frénésie générale.
J’y ai rencontré Paulo Perreira, cordeliste et poète qui est capable de déclamer près de 500 cordels. Ici c’est un petit bout de cordel autour d’une thématique très classique du genre: le mari cocu.