Il fut acclamé par des cris de joie redoublés. Il demanda le silence, et l’obtint plus ou moins. — Compañeros ! Les jours de l’infâme dictateur Diaz sont comptés ! Ce fut alors un immense cri de joie. On sortit les guitares et les bouteilles de tequila. Et moi, je refermai le petit volet de ma grange, tirai ma couverture et me mit à essayer de dormir avec la peur au ventre.