La gravure commence à toucher à sa fin. Il me reste à faire naître, sur quelques cloisons intérieures, les personnages que mes derniers sursauts d’inspiration m’autorisent. Alors le peuple du labyrinthe sera au complet et veillera sur le hêtre pourpre…
Aujourd’hui une nacelle est venue dans le parc et nous avons pu enfin voir le labyrinthe d’en haut. Etrange point de vue qui le fait ressembler à un jouet en bois ou à une sorte de village amazonien perdu dans le feuillage…
Quand je m’éloigne de ma tronçonneuse, je peux compter sur la vigilance de ma brigade de réaction rapide personnelle qui veille, armée jusqu’au dents, sur mon précieux attirail. N’ayez crainte, leurs mines patibulaires cachent une âme d’enfant.