Retour à la linogravure après de longues semaines d’infidélité pour cause de tronçonneuse, avec la préoccupation d’être plus narratif que percutant mais surtout de créer des profondeurs, d’étager les plans. Une chose avec laquelle je ne suis pas forcement très à l’aise. Ca se voit n’est ce pas?
(linogravure 2 couleurs 40X50)
Je me rends compte que dans cet aller retour entre les outils et les supports: tronçonneuse sur bois et gouge sur lino, la tronçonneuse m’aide plutôt à libèrer ma façon de traiter les visages, les volumes, les clairs et les ombres alors que la linogravure nourrit plutôt les thèmes, alimente les situations, les postures et les physionomies…
C’est bien sérieux tout ça, est ce bien intéressant? Il est temps que je prenne des vacances!